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Même si cela fait vingt ans qu'il est artiste et trente qu'il écrit des chansons, The straight hits n'est que le deuxième album solo de Josh T. Pearson. Il fait suite à ses débuts acclamés avec Last of the country gentlemen en 2011 et The Texas-Jerusalem crossroads en 2001 par son groupe Lift To Experience. L'album met en avant différents aspects de country et de rock : country-punk, rock'n'roll cataclysmique ou encore chansons d'amour.

Il a enregistré cet album avec Brad Jones à Nashville. Brad avait joué de la basse sur 3 de ses albums précédents. C'est un album pop presque baroque au son très luxuriant. Ron Sexsmith est l'un des auteurs-compositeurs-interprètes les plus accomplis au Canada.

The Waeve, c'est la rencontre entre le légendaire guitariste de Blur Graham Coxon et Rose Elinor Dougall du groupe The Pipettes. Ensemble, ils présentent leur premier album coproduit avec le super-producteur James Ford (Arctic Monkeys, Florence & The Machine, Foals, HAIM). L'album est une collection de 10 morceaux à l'univers sonore inattendu. S'inspirant initialement d'un amour partagé pour la musique folklorique anglaise, les contes et les paysages de cette île, les deux collaborateurs ont pris confiance pour s'aventurer dans des territoires inconnus. Le son s'est développé lentement mais sûrement, les voix et les mots ont commencé à trouver leur espace naturel, les guitares et les saxophones ont lancé des appels au clairon et les cordes se sont élevées vers d'autres stratosphères.

Le nouvel album de Rhiannon Giddens a été enregistré en collaboration avec le multi instrumentiste Italien Francesco Turrisi. Il a été produit par Joe Henry de façon intensive pendant 5 jours à Dublin en Irlande. L'album nous montre comment plusieurs courants de musique et de sons, provenant d'Afrique et du monde arabe, ont eu une infl uence sur la musique européenne et américaine. Il met en lumière l'universalité de la musique et le caractère commun de l'expérience humaine. C'est un mélange de chansons originales écrites par Giddens et un ensemble varié d'interprétations allant du titre de Ola Belle Reed "I'm Gonna Write Me a Letter," à la chanson d'Oscar Brown Jr's "Brown Baby," au morceau traditionnel italien "Pizzica di San Vito" à l'Aria de Gian-Carlo Menotti "Black Swan". Les derniers albums solos de Rhiannon Giddens "Tomorrow is My Turn" (produit par T Bone Burnett) et "Freedom Highway" ont été plébiscités par la critique. Grâce à ces derniers, elle a reçu plusieurs nominations aux Grammy Awards. A noté que son travail avait déjà été récompensé par le Grammy Award du "meilleur album Folk" en 2010 avec le groupe Carolina Chocolate Drops, dont elle est l'une des fondatrices.

Faut-il chercher le message dans la photo de la pochette de "Tinn tout", ce huitième enregistrement studio de Danyèl Waro? Serait-ce l'illustration de la maxime qui dit que tenter de comprendre l'âme humaine, c'est comme essayer de vider la mer avec un seau? "Tinn tout", le morceau qui ouvre l'album, lance une forme de réponse en invitant à lever le pied pour prendre du recul : "Il faut qu'on se décide, qu'on se réveille pour de bon". Enregistré au studio Oasis, un studio mythique de la Réunion tombé un peu en sommeil, la console a été dépoussiérée pour les cessions. Le maloya puissant de Danyèl Waro a pu alors résonner avec toute sa force. Accompagné et soutenu par les choeurs de son nouveau quartet (Mickaël Talpot au rouler, Bino Waro, son jeune fils, au sati-piker, Gilles Lauret au triangle et à la basse et le vieux compagnon Laurent Dalleau aux congas), Danyèl livre ici un album qui revient à l'essentiel : hommages aux hommes qui comptent pour lui (Dédé Lansor, Daniel Singaïny, Georges Brassens dont le "Je me suis fait tout petit" est adapté en créole), conte écologique (Tizan), rencontres (Sentier des Lauzes), écho ironique et mordant au quotidien (Babilonn, Kayanm, Dann Wi). Un huitième album au maloya toujours aussi engagé de cet artiste unique qui sublime son formidable talent mélodique avec une voix irradiante et déchirante.

C’est une merveilleuse journée ensoleillée, le moment idéal pour visiter les magnifiques jardins du parc Topiary à l’entrée de la ville. Relaxez-vous et laissez-vous transporter par la beauté de ses œuvres d’art ! Dans le jeu Topiary, les joueurs cherchent à offrir à leurs visiteurs le meilleur point de vue possible sur le parc. Il s’agit de proposer, à chacun, une belle ligne de vue qui permet d’apercevoir le plus de topiaires. Plus la valeur d’une tuile est élevée et plus le topiaire est grand et impressionnant. Attention cependant car placer un visiteur face à un topiaire grandiose masquera ceux qui sont derrière. Il faudra donc être habile et prévoir les coups bas de vos concurrents. Topiary est un jeu très accessible, mais diablement efficace, stratégique et sournois, pour toute la famille!

Deuxième volet des Transcontinentaux de Yann-Gaël Poncet, le TNL Charango est la rencontre ultime de l'electro-jazz français avec la musique andine d'Oscar Miranda, boostée par la verve de Sergent Garcia (textes de J.Saer, B.Garcia et YGP) Entièrement composé d'échantillons originaux collectés lors des voyages d'immersion de YGP, le TNL Charango est un dialogue authentique entre deux continents, mêlant la virtuosité à l'engagement pour préserver l'intelligence des cultures et ralentir leur fusion afin de donner du sens à la mondialisation.

Ces nouvelles étaient presque achevées à l'été 2014, quand j'ai été victime, le 27 juin, d'une agression à New Haven, dans le Connecticut. Certains de ces récitsont été composés avant cette mésaventure, et d'autres après.Il me semble parfois que nous écrivons notre vie à l'avance et que, d'autres fois, nous sommes seulement capables de regarder derrière nous. Mais en fin de compte, chaque mot que nous écrivons est autobiographique, peut-être plus encore quand nous essayons d'éviter toute autobiographie.Malgré tout ce qu'elle doit à l'imagination, la littérature prend des chemins inimaginables.

Automatic City est entré dans le blues par la porte de derrière. D'autres l'avaient fait avant eux : les géants du label Chess, Dr John, Captain Beefheart, Alan Vega, Jon Spencer. Et parce qu il n'y a pas que le blues dans la vie (même s'il n y a pas de vie sans blues), Automatic City le croise avec son goût pour l'exotica orientaliste et psychédélique, les BO de films de science-fiction, les rythmes africains, les beats électroniques. "Triple ripple" est leur troisième album. Celui qui va plus loin, plus dense, plus fou. Ce qu on y entend vient de partout, et ne s'entend qu'ici.